L’Arrivée 7

18 juillet

Sœur, belle sœur ou tante, cela faisait 10 mois que nous ne l’avions pas vu quand elle nous a rejoint, seule, pour 10 jours en Argentine.

Voilà, Anaïs a quitté le soleil parisien pour trouver l’hiver argentin.

Les préparatifs de son arrivée avait commencé la veille avec un petit garçon surexcité. Nous avions fait les courses pour faire goûter le fameux tartare au guacamole, Thomas prêtait sa chambre et Théandre  préparait son panneau habituel de bienvenue.

Et le lendemain tout était prêt à accueillir la parisienne.

Pour une fois, il  n’y aura pas de photo de l’aéroport, avec les retrouvailles et tout et tout. La raison est peut être trop simple mais Anaïs arrivait à 8h30 du matin un jour de départ en vacances. L’aéroport est à 1h30 de chez Claude dans de bonne conditions. Autrement dit, nous aurions du partir très tôt et passer beaucoup de temps dans les embouteillages pour la retrouver à la sortie de son avion.
Nous avons fait le choix « égoïste » d’envoyer un taxi pour aller la chercher. Un taxi qui l’attendrait avec un petit panneau et son nom dessus, c’est bien aussi.

Et puis nous avons attendu dans le froid que le taxi arrive, c’était pas facile non plus.

Finalement, Elle est arrivée. La tante tant attendue.

S’en est suivit, comme à chaque arrivée d’un visiteur de France.; l’ouverture de la valise avec des choses attendues, des pensées et des cadeaux.

Nous remercions donc ma sœur d’avoir rapporté tout ce que nous avions fait livrer par Amazon chez elle, nous remercions ma maman d’être allé chercher à la Courneuve le guide de Bolivie qu’Amazon n’avait pas réussi à livrer chez ma sœur, et nous remercions globalement les deux pour les chocolats, les magazines et les surprises pour Théandre.

La plus grosse surprise étant Doudou 2ème (le 1er du nom ayant subit un fin tragique) du nom revenu officiellement d’un séjour au SPA. C’est simple,  nous ne l’avons pas reconnu. Le toucher, l’odeur et même sa douce musique était différente. Je pense que même Doudou 1er du nom n’a jamais été aussi parfait.

En plus, maintenant, il n’est plus seul. Bébé Doudou accompagne Papa Doudou. Désormais, nous devons faire encore plus attention de ne rien perdre.

(le petit sac jaune que Théandre a autour de son cou est un porte monnaie où il économise pièce par pièce pour s’offrir son « MAc » (se réfère à Flash Mc Queen et non à l’ordi.))

Après les retrouvailles, la visite de la maison de Claude et les nouvelles, nous avons dégusté un délicieux (selon moi) tartare au guacamole que nous avons du plus apprécier qu’Anaïs, mais bon. L’intention était là.

Nous avons continué la journée en nous mettant au courant des potins de du jour.

Je dois reconnaître qu’il y avait beaucoup, beaucoup de magazine.

Théandre a essayé tous ses cadeaux et le gagnant de tout ce qu’il avait reçu est…. des barrettes très spéciales!

Anaïs a ensuite partagé son premier maté avec une amie qui était venue rendre visite chez Claude et nous sommes partis en transport au centre ville pour manger dans notre super restaurant japonais péruvien. Nous, lorsque l’on aime bien, tout le monde en profite.

Nous avons pris 2heures pour y arriver mais cela a permit à la française fraichement arrivé de découvrir les transports de Buenos Aires.

Toujours le même cocktail, on ne se refait pas.

Elle est floue mais c’est la meilleure photo que j’ai