13 au 15 octobre
Pour aller en Equateur, nous avions le choix entre 26h de bus ou 1h40 d’avion. Mon cœur balançait du côté de la route mais les arguments de la partie adverse pour les aires étaient assez convaincants.
Les tarifs furent désignés comme seul juge, et le bus (10 fois moins cher, soit 50€ par personne) fut le grand vainqueur.
Nous avions pris une bonne compagnie et le voyage passa presque vite, même le passage à la frontière fut plutôt rapide.
Meilleure photo du drapeau de l’Equateur
L’Equateur, soyons clair, n’est pas LE pays que nous voulions faire. Vianney n’avait aucune idée préconçue bonne ou mauvaise, et moi, pour des raisons totalement inconnues, j’en avais une mauvaise opinion.
La seule raison pour laquelle nous étions dans ce pays est parce que nous désirions découvrir leurs superbes îles Galapagos; mais notre départ allait se faire de Guayaquil, alors quitte à y être autant visiter la ville.
Honnêtement, la surprise fut grande. Le temps de préparer notre séjour sur les îles, nous avons passé presque 3 jours dans cette ville énorme et si développée!
Cela doit être la première fois dans toute l’Amérique du Sud que nous voyons des pistes cyclables, il y a même des « velib ». Les bords de l’eau sont aménagés et sont propres, mais propres! Je pense que cela ferait pâlir d’envie Bertrand Delanoë comparé à une fin de journée à Paris Plage.
En plus d’être une ville agréable, bien équipée, propre, jolie, d’avoir souvent beau temps; en plus de tout cela, c’est là, que nous avons finalement trouvé des cadeaux pour l’anniversaire de Théandre. Certes, nous n’avons pas trouvé exactement ce que nous cherchions, mais nous avons eu du choix, c’est déjà ça.
Mais la face cachée de cette ville, celle qui m’a permit de voir l’Equateur sous un autre angle, celle qui m’ a fait dire que Guayaquil est une ville presque parfaite; la face caché est sa large gamme de restaurant.
Vous pensez que je me répète, vous avez raison, je tenterai d’ailleurs de ne plus parler de nourriture lors des prochains articles, mais en attendant, voici une partie des petits plaisirs que nous avons pu nous faire.
Une bonne bière
Une fondue!
Un tartare!!!! avec de la purée!!!!
et, bien entendu, un excellent japonais
Nous avons également eu l’immense honneur de partager avec les Equatoriens, leur troisième qualification pour une coupe du monde de football!
Entre les repas et quelques courses, nous avons également pris le temps de préparer notre voyage aux Iles Galapagos. Nous reprendrons, encore une fois, l’avion demain pour une peu plus d’une semaine sur les iles.
Et voila! Vous n’aurez meme pas du attendre Quito pour bien manger! Je me rejouis pour vous.
Toute une population urbaine respectueuse de l’environnement, c’est un rêve et sans même avoir une bonne raison comme au Brésil, de recevoir les équipes de football du monde. Extraordinaire. Le mérite revient peut être à son épouse belge et flamande, rencontrée quand il faisait ses études à Louvain par contre en tant que bonne catholique elle a du influencer son mari qui est contre l’IVG.
Là, je suis désolée, mais je ne comprends pas trop le commentaire…
que c est dure la vie 😉
Les flamandes, tout comme les hollandaises, sont nées un plumeau à la main et j’ai trouvé que l’influence de la femme du président pouvait avoir influencé la propreté de la ville sans qu’il n’y ait un énorme évenement qui le motive.
Maintenant, je comprends, ce n’était pas évident car je ne connais même pas le nom du président.