La séparation 3

19 mai

Ca y est, après un peu plus d’une semaine, notre groupe se sépare. Ma maman et Noé repartent pour Paris, alors que nous partons à la découverte du Chili puis du reste de l’Amérique du Sud.

Malgré que nous soyons en plein hiver et en pleine saison des pluies, il fait superbe.

Noé est  impatient de rentrer à Paris et à une peur bleue de rater l’avion. Il nous faut beaucoup d’explications (et un peu de patience) pour réussir à le faire sortir afin de découvrir quand même rapidement les alentours de l’hôtel.  Par contre, pour le sourire, il faudra attendre un peu.

Vous comprendrez pourquoi Noé n’est pas dessus.

Après une petite marche, nous arrivons sur la Plaza de Arma. La place qui DOIT être visitée. J’avoue, je n’ai pas trop compris pourquoi. La place est sympathique; il y a des bancs, une cathédrale, des cafés et un grand kiosque à musique; mais rien de très original. En plus, la place est fait d’une telle façon qu’il est impossible de prendre une photo d’ensemble.

J’adore ce bâtiment

Le kiosque à musique où nous avons eu la chance d’entendre un super orchestre (je dirai que c’était la garde civile mais comme je ne suis pas sure, je ne m’avance pas trop)

Ah, j’oubliais, il y avait aussi des policiers.

Très bien protégés

Et, il y avait, en son centre quelque chose de très important: une fontaine! C’est à ce moment que Noé à pu être repris en photo.

Les 2 cousins

Après une petite glace à la pistache pour le petit déjeuner, la matinée est déjà terminée.

Il faut vite récupérer les bagages et dire au revoir.

Les valises repartent beaucoup plus pleines qu’a l’arrivée mais nos sacs en sortent beaucoup plus légers.

Dernière photo souvenir

Finalement, le taxi arrive. Les larmes sont au rendez vous (en tout cas pour notre fils).

La séparation est dure. Il veut aller à Paris, rester avec Michèle. Nos petits cœurs souffrent lorsqu’il nous dit ça. Nous avons beau lui dire que ce n’est qu’un au revoir et que dans à peine un peu plus d’un mois, il les reverra. Il est inconsolable… jusqu’à ce que l’on l’emmène au McDonald. Comme quoi tout s’arrange.

Au revoir maman, au revoir Noé; à très vite.