13 et 14 Août 2013
Nous sommes donc partis en quête de cette merveille inscrite au patrimoine mondiale de l’Unesco depuis 1984 que sont les chutes d’Iguazù ou les « Cataratas » (Iguaçu en Portugais) comme disent les autochtones ! Les chutes forment une frontière naturelle entre le Brésil et l’Argentine, nous avons la possibilité de ce faite de les voiresous deux angles différents, asse différents il faut le dire.
Nous commençons par les chutes coté Argentin. Nous logeons dans un hostel tout prêt de la gare routière. Il y a des buses toutes les 30 minutes pour aller de la gare aux chutes. Le bus au départ est déjà bien plein, et il y a beaucoup de français, normal c’est les grandes vacances ! 30/40 minutes de bus plus tard, nous arrivons dans la grande entrée du parque des chutes. Ticket d’entrée en poche, nous y allons.
Je suis un peu surpris au départ, car je pensais que les chutes ferait un boucan de tous les diables, mais je me rends compte que nous sommes encore asse loin des tourbillons d’eau et de la foule en délire face a ce spectacle de « toute beauté » (dédicace a toi). Arrivé dans le centre il y a un plan qui annonce d’emblée les distances et les queues.
Bon, alors en premier nous irons voir la fameuse « Garganta del Diablo », puis nous irons déjeuner et ensuite à nous les trails entre forêt vierge et chûtes. Départ est donné pour le petit train qui en deux arrêt nous amène à la gorge du diaaaabbbblllleee. Je sais, mais en le disant ça fait plus vraie !
Le petit train est sympathique mais bondé et il faut sur le second segment se serrer pour tout y monter. Arrivé au terminus, il faut commencer a se frayer un chemin entre les fumeurs d’un coté qui bloquent le passage en allumant leur cigarette chérie, (10 minutes de train non fumeur vous comprendrez) et les autres personnes qui commencent le rush vers le kilomètre et demi de passerelles enjambant des bouts de fleuve et de terre.
Nous y arrivons enfin, l’attente fut récompensée. Un bruit assourdissant, des nuages d’embruns (le bon mot ?) et…. de la bousculade pour se faire prendre en photo avec en arrière plan la gorge !
la gorge du diable c’est 700 m de long, 150 m de large, 82 m de hauteur. après quelques photos, bousculades et plus, il faut se rendre a l’évidence, il faut y aller et nous nous dirigeons vers le train. A la seconde station, nous continuons a pieds vers la station central au travers de la foret sur le sentier pour aller déjeuner.
Cet fut une première, nous avons mangé des « conza » (si je ne me trompe pas), des pizzas en cône ! (passez votre chemin, il n’y a rien de mieux qu’une vraie bonne pizza. J’en profite pour dire que la meilleur pizza de ma vie a été consommée à Bastia, et vous ?
Tout au long de notre chemin dans le parque, nous avons pus croiser ça et la des coatis, animaux ressemblants a des ratons laveurs en plus mignons. Mais attention, il faut s’en méfier et dans tout le parque, des photos de mains mutilés nous le rappellent : « Do not feed the wild life ».
Conza enfilée, nous nous dirigeons vers les trails. Nous remarchons a travers la foret pour 1 kilomètre pour ne pas attendre le prochain train et démarrons ces jeux de passerelles et enfilades de cascades. C’est magnifique, bruyant, et nous en profitons pour faire un coucou aux personnes du coté brésilien.
Nous faisons toutes passerelles, et voyons toutes les chutes c’est magnifique. Bilan de la journée : Nous avons pris notre temps en arrivant aux chutes vers 11h du matin, et nous sommes un peut mouillés en repartant. Le jeu en valais la chandelle. Nous n’avons pas pris le bateau pour aller au plus prêt des chutes, car d’une part ce n’est pas donnée et d’autre part, on ne voit rien et en plus il faut y aller en maillot tellement c’est « humide! ».
Bonne journée en sommes.
a demain pour la suite.
J’adore le petit commentaire de reproche sur les fumeurs de la part d’un couple d’ex-fumeurs! Quoique j’ai l’impression que cet article n’a pas été écrit par Aude?! Ah et « trails » c’est pas très Français… lol Je dis ça je dis rien!
Quelle perspicacité Céline, ce n’est effectivement pas moi qui ait écrit l’article! Tu te doutes que je partage tout à fait ton avis sur le manque de tolérance de Vianney sur les fumeurs.