6 avril
Les Katlins, c’est la côté sud est de la Nouvelle-Zélande. Nous commençons à remonter vers le Nord et nous décidons de longer cette côté qui regorge d’animaux sauvages.
Notre premier arrêt est à Slope Point. Là, pas d’animaux mais des arbres déformés par le vent.
Un petit morceau de fromage pour motiver Théandre, rien de mieux.
Vianney me maintient que je verrai la même chose en Normandie. Peut-être, mais à part Deauville, le seul endroit où j’ai été en Normandie c’est Houllebeck Cocherel (très sympa par ailleurs). Dans ces deux endroits, je n’ai pas eu l’occasion de voir des arbres comme ça.
Il y avait aussi la mer
En cours de route, Vianney a encore eu le temps de s’amuser avec les lacs miroirs.
Après une courte pause déjeuner, nous avons été voir la fameuse plage de Curio Bay, vestige d’une forêt pétrifiée. Là, nous avons eu beau chercher, nous n’avons vu ni arbre, ni intérêt (ah, si peut être la gentille famille de Réunionnais rencontré sur le parking).
Nous sommes censés reconnaître des arbres
Et nous sommes enfin à Canibal Point, haut lieu de villégiature des lions de mers.
Les lions de mers ressemblent à des otaries mais sont beaucoup, beaucoup plus grand. Il est conseillé de ne pas s’approcher d’eux de plus de 10m.
De toute façon, même si vous tentez de ne pas respecter les mesures de sécurité, ces braves animaux vous sortent un rugissement digne d’un lion et vous courez pour reculer.
Par contre, dès que vous lez voyez courir, vous comprenez pourquoi ils préfèrent la pêche à la savane. Ils se pressent pendant 10m et s’affalent, fatigué par cet effort surhumain. 10 minutes après, ils se relèvent, recourent, et se rearrêtent. Autrement dit, pour arriver à la mer, ils prennent une bonne demi-heure.
Direction la mer
Ses petites traces de queue
Notre prochain et dernier stop fut Nuggets Point (rien à voir avec le poulet) est ses pingouins aux yeux jaunes.
Les voir est beaucoup moins évident que les lions de mers. Vous êtes proscrits dans une petite boîte loin, loin de la mer. De plus, des pingouins, il n’y en a pas beaucoup.
Nous avons juste eu la chance d’en apercevoir deux, courants, seuls au milieu de la plage. Ils semblaient en retard pour rentrer chez eux. Assez comique.
Cette longue route nous a mené à Dunedin où nous avons passé la nuit dans notre tente.
Hello
Message parti trop vite. Hou, il a l’air de faire bien froid, une petite pelisse en peau d’otarie (pelage dru avec une couche de sous poils) vous ferait du bien. Photos géniales.
Rien à voir avec Houlbec Cocherel (où il n’y a d’ailleurs rien à voir), mais merci pour le clin d’oeil !
C’est magnifique tous ces paysages, profitez-en bien et couvrez vous bien !