27 au 30 avril
Première île que nous allons visiter : Moorea !
Moorea est une des plus grandes îles de Polynésie. Située à 30 minutes de bateau de l’île de Tahiti, c’est un peu la Normandie de Polynésie.
Tous les tahitiens viennent y passer leur week end et surement que beaucoup y ont leur maison secondaire.
Le départ se fit sous la pluie. Eh oui, vous ne vous en rendez peut être pas compte mais nous n’avons jamais plus de 1 jour sans pluie. Cela dure depuis l’Australie. Au début, nous pensions que ce n’était qu’une coïncidence, mais aujourd’hui nous commençons à penser que comme le Nord attire l’aimant, l’un de nous attire la pluie. Il n’y a plus qu’à trouver lequel et nous pourrons nous en séparer. En attendant de désigner le coupable, nous continuons à 3 sous la pluie.
Arrivés à Moorea, une navette nous attend pour nous amener à notre hôtel. Que c’est bien lorsque tout est prévu !
Notre hôtel, l’hibiscus est pas mal. Ce sont des petits bungalows en face du lagon. Comme cela, ça paraît idyllique mais tous les hôtels sont situés près du lagon donc rien d’exceptionnel.
Il y a même une petite piscine et un jardin.
Nous sommes restés 3 jours dans cette île.
Entre les averses intempestives et les rayons de soleil, nous avons réussi à visiter l’ile.
Nous avons bien entendu beaucoup profiter de la piscine.
Un peu moins de la mer et du lagon. A cause de ces « tempêtes » la mer était très agitée.
Nous avons pris un canoë pour voir les raies et les requins. Malgré que Théandre fasse sa sieste sur la plage et que nous puissions être concentré à 100% sur la recherche de cette faune aquatique, nous n’avons rien vu.
Et, lorsque nous avons tenté de revenir ; de ce fut la tempête ! Impossible de pagayer, un cauchemar ! En plus, ce stupide oiseau qui nous suivait. Il avait un bec, je vous jure, apte à vous crever un œil immédiatement.
La visite de l’île en voiture louée devait être plus reposante.
Nous avons parcouru le lycée agricole à travers les produits locaux. Nous savons désormais comment pousse les ananas et les avocats.
La pluie récente et les moustiques par milliers ont un peu gâchés la marche mais au moins il faisait beau. A notre arrivée, nous avons pu savourer un excellent jus d’ananas frais, ça compense presque les démangeaisons.
Les vues ultra connues étaient elle aussi quelque peu décevantes, faute au temps nuageux.
Mais le pire a été atteint lorsque nous avons crevé. Nous louons une voiture pour une journée et nous crevons ! Tout le monde a tenté de la changer cette satané roue ! Personne n’a réussi !
Nous avons du faire du 10km/h pendant 1h30 pour arriver à la ville, un cauchemar. Sans compter que c’est le seul moment où le ciel était dégagé et que nous n’avons même pas pu en profiter ! Nous sommes quand même aller voir un des plus beaux lagons du monde mais à peine un pied dedans et il pleuvait.
A force de cris et de persuasions, nous avons réussi a avoir gratuitement la voiture pour la matinée du lendemain afin de visiter la distillerie de jus de fruit que nous avions raté la veille.
Malheureusement, il n’ y a plus qu’une visite par jour. Je pense que je n’aurais plus jamais l’occasion de visiter une usine de jus de fruit.
Vianney a compensé en goutant tous les alcool d’ananas qu’ils avaient.
En contant ces trois jours à Mooréa, je réalise que beaucoup de choses ce sont mal passées sur cette île. Lorsque nous l’avons vécu, cela ne paraissait pas aussi négatif.
Je vais donc mitiger mes impressions. Il y a eu beaucoup de ratés à Mooréa mais ces trois jours ont quand même été super reposant, nous nous sommes bien amusés et il y aurait plus eu de soleil nous aurions surement trouvé ça superbe.
Aujourd’hui, nous partons pour Raiatea. Située à 20 minutes d’avion. Peut être fera t’il plus beau.
Hello, je suis de plus en plus excitée de vous voir. C’est quoi vos malheurs à Moorea?
Hello
Le trios infernales, façon de parler!! Comme vous dites la pluie semble être une compagne fidèle dans votre périple. Il faut beaucoup pour que notre petite Aude trouve ou les vues et paysages ainsi que les villes, pour qu’elle les trouve hors du commun ou extraordinaire. Vous connaissez mes talents d’internautes je profite d’avoir Michèle sous le bras pour me dire ce que je fais d’erronée. J’ai une multitude de petit rectangle avec des tartines fidèle a moi même, je ne sait pas ou je les envoyés et ensuite stress stress je n’ose plus rien faire et demander a Youri c’est me jeter dans la gueule du loup, il est tellement entende et oppressant que j’attendais de revoir Ron ou Michou donc terrain ami pour me remettre en selle vous êtes lus, appréciés, j’adore vous lire et apprendre plein de choses . C’est absolument comme un feuilletons, la suite, la suite…. On attend avec impatience!! Cool cool et Aude semble toujours prête a tout voir et découvrir et Paris semble remporter la palme . Bonne route a nous de nous accrocher . Pourvu que Mme la pluie aille se promener ailleurs. Soleil, soleil. Bisous
Aude, quand tu dis « pluies continuelles depuis l’Australie », entendons-nous bien, depuis Toowoomba! 🙂
Votre drôle de petit oiseau doit être en train de raconter a ses potes comment il a tenu bon sur votre kayak malgré le vent et la tempête pour vous tenir compagnie et vous protéger des mauvais esprit.
Il a un petit air vachement gentil, pas du genre mouette rieuse de Gaston Lagaffe….
Nous attendons tous impatiement le poste suivant avec tous vos malheurs a Moorea, parce que d’ici, tout avait l’air plutot idyllique!
Je pensais que le fait qu’il pleuve, que nous n’ayons pas pu visiter la distillerie de jus de fruits, que nous ayons eu une tempête avec le canoë étaient suffisant pour les malheurs. Alors non, rien de plus. Désolée.