15 au 18 décembre
Astana est une grande ville, un peu comme Paris mais avec des transports en commun beaucoup moins facile d’accès.
Le métro n’est quasi pas utilisé mais les bus sont nombreux. Hors comme vous le savez peut être (ou pas), il est souvent difficile de se repérer dans une ville inconnue avec des bus. Il est encore plus difficile de les utiliser lorsque vous êtes censés les payes par une appli qui ne prend pas les cartes étrangères et qui de sucroit n’est qu’en russe.
Nous avons donc été contraint de frauder dans les bus avec l’accord des contrôleurs, et de marcher beaucoup, beaucoup. (car comme à Paris, les taxis ne se bousculent pas au portillon, il n’ont pas uber mais Yandex que nous ne pouvons pas utiliser car notre adresse mail est basé dans une mauvais pays, la France…)
Nous avons donc découvert cette ville nouvelle en piéton (et dans le froid).
- en nous arrêtant dans toutes les aires de jeux
- en marchant à travers des ponts divers et variés
- en refaisant de jourset de nuit les mêmes endroits
Mais aussi en se réchauffant au coeur du plus grand centre commercial, le fameux qui reste chaud à l’intéireur et qui dispose de magasins, bien sur, mais aussi
- d’un mini parc d’attraction
- mais surtout d’une plage artificielle!
Ce fut une vraie surprise pour les enfants avant le départ. Ils s’attendaient à visiter avec entrain le musée de la musique. Ils ont largement préféré le sable, l’eau chaude et les toboggans.
- et le dernier que je ne savais pas où caser, les intemporels, en l’occurence, la maison retournée
Et ça y est, c’est officiellement notre dernière soirée, une dernier déjeuner copieux avec du vin (ma 2eme goutte d’alcool depuis notre départ et malgré quelques bières en plus pour Vianney, nous pouvons presque parler de dry august).
Après beaucoup d’hésitation et surtout beaucoup de recherches, nous partons pour le Viet Nam avec un arrêt imprévu et surprise de quelques jours à Séoul!